La Kouatly Tower
S’il est resté assez vague sur la tactique au service de cette stratégie, Bachar Sala (Non ! re pardon, décidément, ça doit être freudien), Bachar KOUATLY a vite rassuré : "nous avons bien commencé notre mandat. Les 200 000 € que nous avons tenté de provisionner sur cet exercice, ne sont rien à côté de ceux que nous allons encore promettre. Nous avons encore de nombreuses pistes, une dizaine de milliers d’entreprises sont des partenaires potentiels et nous avons les talents pour les sensibiliser à la cause échiquéenne". Et, les larmes au yeux, le président de conclure : Nous pourrons donc, « nous aussi, promettre 1 million d’Euros, comme, jadis, ont osé le faire les pionniers de la peristroïka échiquéenne ! ». Avec la franchise qui le caractérise Bachar Kouatly (ouf !) a rassuré : « bon, pour l’instant on essaye surtout d’autres méthodes, et nous avons le courage de demander jusqu’à 100 € pour une inscription aux championnats de France jeunes, mais ce n’est qu’une courte transition ».
On sait que celui qu’une certaine presse osait qualifier de « Trump des Échecs », contrairement à sa caricature américaine, tient ses engagements. Il a pourtant proposé de symboliser cette solidité en changeant le logo de la FFE jugé trop classique s'exclamant « Nous allons avoir, nous aussi, notre « Tower ». Cette pièce symbolisera à merveille une démarche allant droit en avant ou en arrière, selon les circonstances ».