Le travail de ces enseignants suscite depuis toujours des vocations. Combien d’enfants rêvent de devenir maître ou maîtresse ? Et bien sûr, ce qui devait arriver arriva : les jeunes professeurs qui enseignent dans les écoles ont appris à jouer aux échecs. Si on ajoute à ces jeunes enseignants toutes celles et ceux qui ont appris à jouer en même temps que leurs élèves, nous obtenons un grand nombre de « profs d’échecs ». Et c’est ainsi que naturellement depuis ce début d’année, l’apprentissage du noble jeu se fait par ces enseignants que la Ligue Corse a formés quand ils étaient plus jeunes. Certains ont même eu la satisfaction de participer à notre grande fête des échecs sur la place Saint Nicolas.
Nous avons déjà plusieurs classes de Balagne, comme celles de Marie Mambrini, Esther Diverchy, Marie Bertucelli par exemple, qui travaillent les échecs sous les conseils du formateur balanin.
C’est un cycle d’apprentissage qui, nous l’espérons, deviendra perpétuel.
Nous avons déjà plusieurs classes de Balagne, comme celles de Marie Mambrini, Esther Diverchy, Marie Bertucelli par exemple, qui travaillent les échecs sous les conseils du formateur balanin.
C’est un cycle d’apprentissage qui, nous l’espérons, deviendra perpétuel.
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