Au delà des légitimes critiques que l'on peut porter à une gestion fédérale poussive et peu ambitieuse, on ne peut se réjouir de cette décision. Elle va certainement avoir des conséquences importantes.
Incontestablement BNP Paribas ne calcule plus la FFE et le fort partenariat mis en place par le président Jean-Claude Moingt s'écroule donc.
En mettant en exergue dans sa missive d'avoir " pourtant fait le choix d’être accompagnés par une agence de marketing sportif, notamment pour renforcer la qualité du service et les liens avec BNP Paribas", le président FFE manque toutefois de crédibilité. Le recours à une agence professionnelle n'est valable que lorsque l'on a une forte réalité de terrain, à l'instar de quelques grandes fédérations sportives, mais pas dans le cas d'une association à développer. Là il appartient prioritairement à son président de faire ce boulot de représentation et de sensibilisation des sponsors. En délégant de la sorte, avec un résultat d'ailleurs nul à ce jour, si ce n'est d'avoir déjà donné 45 000 € à cette société, Diego Salazar montre ses limites.
Incontestablement BNP Paribas ne calcule plus la FFE et le fort partenariat mis en place par le président Jean-Claude Moingt s'écroule donc.
En mettant en exergue dans sa missive d'avoir " pourtant fait le choix d’être accompagnés par une agence de marketing sportif, notamment pour renforcer la qualité du service et les liens avec BNP Paribas", le président FFE manque toutefois de crédibilité. Le recours à une agence professionnelle n'est valable que lorsque l'on a une forte réalité de terrain, à l'instar de quelques grandes fédérations sportives, mais pas dans le cas d'une association à développer. Là il appartient prioritairement à son président de faire ce boulot de représentation et de sensibilisation des sponsors. En délégant de la sorte, avec un résultat d'ailleurs nul à ce jour, si ce n'est d'avoir déjà donné 45 000 € à cette société, Diego Salazar montre ses limites.